jeudi, décembre 29, 2016

D'abord gagner la guerre, ensuite discuter (d'ailleurs, une fois la guerre gagnée, il n'y aura plus besoin de discuter)

Speak Truth to Power?

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“But what, Quintus Propertius, sir,” says the old bearded fellow, wringing his hands as he tugs at the reins of the centurion’s horse, “do you have to offer us, the defeated peoples of Iberia? Let us reason this out, we and you, together. Is it right by the gods that you should impose your laws upon us at the point of a sword? What have we done to you to warrant it?”

“You have lost,” says the centurion. “I’m a soldier, not a philosopher. You’re an old man, not a soldier. And if you don’t let go of those reins, you will cease to be an old man, too.”
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Les discutailleries autour de l'islam, aussi bien intentionnées soient-elles, me sont de plus en plus pénibles. Elles me paraissent une lâcheté sophistiquée, une forme élaborée de procrastination pour fuir le combat.

Les choses sont claires : l'islam est notre ennemi. Il faut brimer les pratiques musulmanes en France, empêcher toute entrée de musulman et aider généreusement mais fermement les musulmans qui veulent rester musulmans à retourner dans leurs pays d'origine. C'est clair, c'est net et je ne vois pas ce qu'il y a à discuter.

Vous me direz : « Et ceux qui n'ont pas encore compris que l'islam est notre ennemi ? Il faut bien discuter avec eux pour les convaincre ». Hé bien, ceux-là, je me dis que, quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, s'ils ne sont pas encore convaincus, ce n'est pas une discussion qui les convaincra. Leur problème est ailleurs que dans la comprenette, il est dans le caractère. Car, voir ce que l'on voit, comme disait Péguy, est d'abord une question de caractère.

Même la question de savoir comment les patriotes peuvent prendre le pouvoir me paraît aujourd'hui dépassée. Orban, Farage, Trump (et Wilders) ont répondu : en ne concédant pas l'ombre d'un début de légitimité au politiquement correct. Dans les pays où il n'y a personne pour assumer cette réponse, comme en France ou en Allemagne, cela signifie juste que les patriotes ne prendront pas le pouvoir sans intervention ou événement extérieurs (mais, justement, en ce moment, le monde bouge plus vite que nos pays figés).

Alors ? Plutôt que de parler de l'islam, qui est tout de même un sujet chiant (franchement, les bougnouleries, et ça c'est permis, et ça c'est interdit, et tu te torches comme ci, et tu te torches comme ça, c'est d'un intérêt très limité. Si ça amuse les gogols ...), parlons de notre pays, de notre histoire, de notre culture.

Et soyons prêts quand le pouvoir sera à prendre, du bon coté de l'épée.




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