mardi, mars 22, 2016

Causeur nous cause de terrorisme islamique

Le plus hallucinant de cet article est qu'il soit nécessaire de l'écrire :

Terrorisme : Lagrange appelle un chat un chat. Face à Olivier Roy, certaines vérités sont bonnes à dire

Il faut dire qu'Olivier Roy est un « islamologue » médiatique comme ion en connaît des dizaines : toujours à nous expliquer que les saloperies inspirées par l'islam n'ont rien à voir avec l'islam.


La Belgique, eldorado d’un djihadisme en plein essor Apprendre des attentats de Bruxelles


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La théorie des « loups solitaires », pauvres jeunes paumés issus de l’immigration, à la limite de l’aliénation mentale, qui faisait florès, à Paris comme à Bruxelles il n’y a pas si longtemps, vole en éclats. Le djihadisme européen est bel est bien une organisation structurée, dotée d’une stratégie, de centres de commandement, d’un appareil logistique et surtout de bases de repli dans des quartiers où ils sont protégés par la population. Ces « bases vertes », comme on disait jadis les « bases rouges », où les terroristes marxistes (RAF, Brigades rouges, Action directe) tentaient, sans succès de trouver asile et protection, ont, elles, une existence bien réelle. Comment, sinon, expliquer que les terroristes les plus recherchés d’Europe aient pu trouver, pendant quatre mois des « planques » dans la capitale de l’Union européenne. L’imperméabilité de ces réseaux à la pénétration d’indicateurs révèle l’inadaptation des techniques policières en vigueur à les combattre efficacement, pour autant que leurs membres de ces réseaux soient capables de déjouer les méthodes de traque technologique.

Le cas belge est la manifestation ultime et caricaturale d’une situation dont il ne faudrait pas croire que nous sommes épargnés. Molenbeek fait école à Sevran, Marseille, Vaulx-en-Velin. Là-bas, on « apprend de Molenbeek pour apprendre à vaincre » comme jadis les maoïstes de tous les pays « apprenaient de Yenan pour apprendre à vaincre ». La division linguistique de culturelle de la Belgique et de sa capitale, le clientélisme sans rivage de ses élus avec une communauté musulmane qui se sert du bulletin de vote comme d’une arme politique, sont la préfiguration de ce qui pourrait arriver chez nous si l’on persiste à écouter les discours en stéréo d’Edwy Plenel et Tarik Ramadan.

Leurs émules d’outre Quiévrain ont table ouverte au Soir de Bruxelles, principal quotidien francophone de la capitale, comme à la RTBF, et à l’Université libre de Bruxelles.

L’heure n’est plus à la seule compassion envers les victimes, au « Je suis Bruxelles » comme on a été Charlie ou Bataclan. L’heure est à l’exigence populaire d’un combat sans merci, avec tous les moyens adéquats contre une menace avérée et gravissime. Oui, il faut être islamophobe au sens premier du terme, avoir peur d’un islam qui engendre des monstres et de plus en plus des sympathisants actifs ou passifs de ces monstres.
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