samedi, juin 27, 2015

Lutte contre le terrorisme islamique : nous ne sommes pas sérieux

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Islamisme: le défi de l'apathie

Dans la lutte contre le terrorisme islamique, nous ne sommes pas sérieux, nous nous payons de mots.

Nous savons ce qu'il faudrait faire si nous étions sérieux et nous ne le faisons pas :

1) Nommer l'ennemi et regarder les choses en face.

2) Arrêter immédiatement et complètement l'immigration musulmane. Oui, sélectionner les immigrés sur des critères religieux. Si tous les musulmans ne sont pas terroristes, tous les terroristes islamistes sont musulmans. Comme c'est une question vitale, sortir des accords internationaux qui nous empêchent. Dans le même esprit, cesser les aides sociales pour les étrangers. Couler les bateaux de clandestins en Méditerranée.

3) Cesser les «accomodements raisonnables», qui sont une folie. En France, on fait comme les Français. On mange du porc à la cantine, on donne des prénoms français à ses enfants et on sort habillé français. Et la collectivité ne finance pas les mosquées.

4) Rétablir la liberté d'expression (abroger les lois Pleven, Gayssot, Taubira et compagnie). L'islam ne supporte pas la liberté d'expression.

5) Revoir toute notre stratégie. Nous éloigner des pays du Golfe et nous rapprocher de la Russie et de la Chine.

6) Organiser un programme style Manahattan pour la voiture électrique. Non pas pour des raisons économiques, l'Etat est un très mauvais économiste, mais pour des raisons stratégiques : ne plus dépendre des bédouins, les renvoyer, autant que possible, au cul des chameaux (qui sont en réalité des dromadaires).


Alors que j'ai l'habitude de séparer les responsabilités du peuple français et celles de sa classe dirigeante inepte, j'englobe tout le monde dans le «nous». En effet, il s'agit d'une question de vie ou de mort. Si le peuple français était sérieux dans sa volonté de se défendre, il renverserait la classe dirigeante sur ce sujet.

Je ne peux, hélas, que partager la conclusion de Stéphane Montabert :

Il y aurait bien sûr d'autres aspect à traiter, comme la surabondance d'aides sociales mal ciblées ou les aventures militaires indéfinies et sans objectif de certaines puissances occidentales, mais ils sont à mon avis moins importants et susciteraient sans doute un débat politique encore plus incertain.

Évidemment, c'est dans ce dernier point que réside toute la difficulté: entre des Français dominés par une oligarchie politique aussi obèse qu'impuissante et des Suisses enfermés dans leurs habitudes électorales et endormis par la mélopée soporifique de leurs médias, le premier défi sera à relever sera celui de l'apathie des populations occidentales. La partie est loin d'être gagnée.

En attendant, il y aura encore des attentats et des morts. Beaucoup.

Conclusion de la conclusion : je suis très pessimiste. Je pense que le scénario le moins pire est une guerre civile à l'algérienne avec des dizaines de milliers de morts. Et que le scénario le pire est une soumission à l'islam, que souhaite notre classe dirigeante (l'islam est une société de contrôle. Pour ceux qui sont tout en haut et qui contrôlent, c'est confortable).

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