mercredi, mars 21, 2012

Funeste réticence guerrière

Nous sommes en guerre puisque les islamistes se considèrent comme nos ennemis, qu'ils se déclarent en guerre contre nous. Que cela nous plaise ou non. Si on refuse de faire la guerre quand on est attaqué, on ne travaille pas à un monde de paix, on prépare la défaite et la soumission (sens du mot islam, mais bien entendu, c'est un malheureux hasard !).

Quand le recteur de la mosquée de Paris nous dit que 99 % des musulmans de France ne posent pas de problème, c'est très bien. Mais le 1 % qui reste est suffisant pour nous faire la guerre.

Et puis : pourquoi, si 99 % des musulmans sont favorables à la France, à sa vie et à ses moeurs, la majorité des Tunisiens vivant en France a-t-elle voté islamiste aux dernières élections ? Pourquoi ne voit-on jamais de «marches blanches» musulmanes répudiant les islamistes ?

La réalité est très différente de la vérité officielle du «vivrensemble» : chrétiens et musulmans ne sont pas fait pour vivre ensemble. Leurs religions, leurs cultures et leurs moeurs sont trop incompatibles.

L'expérience historique nous enseigne qu'il n'y a qu'un nombre limité d'issues à la cohabitation de chrétiens et de musulmans : la guerre de religions, la soumission totale des vaincus dans un statut inférieur, la conversion des vaincus, l'expulsion des vaincus.

Ceux qui nous ont acculés, par leur immigrationnisme, à ces options peu réjouissantes sont des criminels.

Pour l'instant, nous sommes sur la voie de nous soumettre, pratiquement sans avoir combattu (sauf la loi sur le voile dans les lieux publics). C'était le sens du débat sur l'abattage hallal, qui n'avait rien d'illégitime : les Français, dans leur ensemble, doivent-ils être soumis, à leur insu, à un rite musulman ? D'autant plus que ce rite donne lieu à la perception d'une taxe religieuse dont il est douteux qu'elle finance la propagande de l'amour de la France.

Face à cet enjeu, les minables tentatives de récupération anti-Sarkozy des prisonniers de l'idéologie sont lamentables.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire