samedi, janvier 24, 2009

Du simu à la réalité, mon amie la DGAC ...

Vous savez que je considère que la DGAC est une bureaucratie qui cherche à accroitre son pouvoir, parce que c'est si bon, et à tuer l'aviation, pour éviter les emmerdes.

Prenons l'exemple de Sullenberg, le pilote qui a posé son A320 dans l'Hudson.

Imaginons qu'il ait fait cela en simulateur plutôt que dans la réalité. Et bien, en France, la DGAC lui aurait retiré sa licence sous prétexte qu'il a improvisé (en simu, on n'aurait pas pu savoir qu'il a sauvé tous ses passagers) et qu'il devient sénile.

Vous croyez que j'exagère ? Hélas, j'aimerais bien, mais de plus en plus, la bureaucratie entretient l'idée que le pilote est un animal dangereux (et irresponsable) qui doit être enfermé dans une cage de textes.

La situation n'est pas sans analogie avec celle des banquiers qui, à force d'être cernés de réglements, ont fini par perdre le contact avec la réalité.

3 commentaires:

  1. Un exercice sympa à faire faire aux bureacrassouillards serait de leur faire effectuer un vol sans pilote et sans pilotage automatique en leur intimant l'ordre d'atterrir en respectant tous les règlements qu'ils ont pondus.

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  2. C'est un peu bidon ton post, tu sors de chez toi de temps en temps ? tu vois des gens ? tu voyages ?

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  3. @ Armel,



    Mais encore ?

    Je me demande si vous n'avez pas mis votre commentaire sous le mauvais message, je ne vois pas le rapport avec le sujet. C'est au contraire parce que je sors beaucoup de chez moi que je sais que tous les pays ne sont pas étouffés par leur bureaucratie comme l'est la France.

    Et aux les championnats du monde de la bureaucratie, la DGAC est bien placée pour monter sur le podium.

    Enfin, une remarque que vous allez trouver affreusement vieux jeu : je ne vous permets pas de me tutoyer, nous n'avons pas élevé les cochons ensemble.

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